14 juillet 2018
Aït Benhaddou
Petit tour dans le village d'Aït Benhaddou
C'est brut, carré, sans fioriture et j'adore !
Rencontre d'un peintre qui dessine avec du safran, du thé vert ou des oranges et de la pierre d'alun, une scène, des dromadaires, ou les deux, et qui en séchant devient (presque) invisible. A la flamme d'une bouteille de gaz, il fait apparaître le dessin. C'est magique ! A ma demande, il me marquera le nom du village et d'une kasbah, et "Ouarzazate".
En haut du minaret, une saisonnière a fait son nid
Sur le chemin du retour
L'eau qui sort par endroit est salée et laisse des traces blanchâtres en séchant : du sel, ajoutant une nouvelle texture au relief.
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